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الأربعاء، 7 فبراير 2018

Naissance de la lumière Sixième partie

Naissance de la lumière  Sixième partie
Naissance de la lumière  Sixième partie



Naissance de la lumière

Sixième partie


Naissance de la lumière

Sixième partie

La coutume chez les Arabes voulait que ce ne soit jamais la mère qui allaite elle-même son nouveau-nés. Les nouveaux nés étaient confies a une nourrice, de préférence une qui habitait le désert ou le bébé pouvait respirer l’air pur. Allah dans son infinie sagesse a voulu que ce soit Halima Al Saadeya qui soit choisie pour la tache d’allaiter son joyau préfère.

Imam Miyawi qu’Allah l’agréé rapporte:” Lorsque le Prophète Mohammed vit le jour, les anges dirent:. « Notre seigneur nous a charges de la tache de l’allaitement et de l’éducation de son joyau”. Les oiseaux dirent:” Nous le prendrons dans notre nid” et les fauves dirent:” Nous le garderons dans notre tanière”, mais l’appel divin arriva en disant:” O créatures, Allah a voulu que le privilège de l’allaiter soit accorde a Halima. Et c’est ainsi que le sort favorisa Halima.

Mais Halima vivait dans une grande pauvreté. Quand Allah voulut lui accorder le bonheur éternel, il envoya sur la contrée qu’elle habitait une terrible sécheresse. Halima remerciait quand même Allah jour et nuit. Un jour, elle vit dans un rêve un homme qui la prit par la main et la mena a une rivière a l’eau blanche comme le lait pur et lui dit:” Bois O Halima”. Elle lui dit:” qui es-tu”? Et il répondit:” Je suis la reconnaissance que tu démontrais envers Allah jour et nuit malgré les terribles épreuves. Halima je t’annonce que tu deviendras la nourrice du seigneur des messagers et maitre de l’humanité. Garde cette information secrète et n’en parle a personne”. Elle accoucha le lendemain tout en se nourrissant d’herbe et de pousses sauvages mais jamais elle ne perdit espoir et elle continua à faire confiance au destin.

Un jour, pendant que Halima était sortie avec les autres femmes a la recherche de légumes ou d’herbes comestibles, elles entendirent toutes en même temps une voix qui disait:” Un enfant est ne a la Mecque. Gloire et bonheur a celle qui sera sa nourrice”.

Les femmes partirent donc des le lendemain a la Mecque. Halima possédait une pauvre chamelle émaciée qui trainait toujours loin derrière toutes les autres. Une fois a la Mecque, les nourrices refusèrent toutes de pendre le bébé Mohammed vu qu’il était orphelin et que sa famille n’était pas très fortunée. A cause de l’état de sa monture, le sort a voulu que Halima arrive à la Mecque après que toutes les femmes eurent choisit leur nourrisson. Elle aperçut alors Abdelmuttaleb devant la porte d’Amena et lui demanda s’il avait un nourrisson a lui confier et il lui répondit:” Oui j’en ai un, mais personne n’en veut comme son père est mort et sa mère est pauvre”. Et Halima répondit:” Je vais le prendre”. Il lui demanda son nom et elle répondit:” Halima al Saadiya” qui se traduit par patience et bonheur. Il lui dit donc: “La patience et le bonheur, entre donc le voir”.

Quand elle entra elle le trouva beau et souriant. Elle le prit dans ses bras et lui donna le sein droit et il but. Elle voulut ensuite lui donner le sein gauche mais il le refusa car déjà des cet âge se manifestait chez lui cette grande justice qui lui interdit de prendre le sein qui était réservé a son frère de lait.”

Halima raconte ainsi sa propre histoire:” J’étais très malade et très faible et je souffrais terriblement. La chamelle qui m’avait portee vers la Mecque était vielle et chétive et toutes les femmes sont arrivées avant moi à cause de ca. J’aperçus donc Abdulmuttaleb et lui demandais s’il avait besoin de moi et il me dit:” O Amena posséderais tu une âme généreuse qui te laisserait nourrir un âme orpheline et recevoir le bonheur éternel en échange”? Je répondis:. Montrez-le moi”. Nous sommes entres le voir et j’ai vu sa mère, une belle et noble femme a la mine radieuse. Elle me remit l’enfant élu et elle me remit enveloppe dans une couverture. Il se dégageait de lui un parfum subtil et une douce lumière qui me fit perdre la tête. Il me regarda en souriant et sa lumière pénétra au fond de mon âme”.

Mon mari me dit:” O Halima voila un vrai trésor et un grand bonheur” et je répondis:” mais c’est un orphelin”, et il me dit:” C’est la richesse de toutes les richesse, c’est une suprême félicite"

Halima raconte ensuite qu’après l’avoir vu, elle se remit de tous ses maux. Elle remonta ensuite sur sa vielle chamelle portant le bébé dans ses bras et cette vielle chamelle partit comme un jeune cheval d’un pas sur et confortable au point de rattraper les autres femmes qui avaient sur elles une belle avance. Et sur son passage, les arbres morts verdissaient et fleurissaient.

Sidi Fakhreddin a dit:

“De lui les mères ont appris la tendresse”





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mohamed fares
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